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PARIS AILLEURS – LE TOUR DE PARIS ET D’AILLEURS – DAHOLYMPIA

Paris Ailleurs est un album sans concession, mais dans lequel on trouve aussi de vrais singles radiophoniques. C’est un album important pour mon parcours, car son succès m’a permis d’installer une image plus mature et de me propulser dans une nouvelle décennie.

Etienne (livre Dahodisco de Benoît Cachin)

  • 6 décembre 91 : sortie de l’album
  • 93 : VHS Paris ailleurs (le film et les clips)
  • octobre à juillet 92 : Le Tour de Paris et d’Ailleurs
  • mars 93 à juillet 93 : The Paris Ailleurs Tour
  • octobre 93 : sortie du live DahOlympia en cd et VHScommentaire DahOlympia VHS

… et merci à vous de nous avoir suivis sur ces routes qui mènent… ailleurs ?

Etienne

  • 18 novembre 2016 : sortie dans la Deluxe Remastered Collection
  • 3 décembre 2021 : édition limitée vinyle vert pour le 30e anniversaire de l’album

ALBUM & TEXTES

Les textes sont retranscrits avec la très aimable autorisation d’Etienne. Encore merci à lui.

Des attractions désastre (Etienne Daho)
Daho ! / M’avez-vous déjà vu quelque part ? / Rafraîchissez moi donc la mémoire / Extasié devant une toile de Witsen / A Rome, Londres ou Rennes, vous m’appeliez Etienne / Cherchant le magicien et sa dose / New York, Café Reggio, je suppose…. / En plein coeur de l’ivresse, au milieu du chaos / Accoudé à un bar, vous m’appeliez… Daho ! / Vous en avez de bonnes à Lisbonne ? / De salaces à Paname, Amsterdam ? / Etait-ce une quille ou un glaçon, va savoir… / Dans le noir, dans le ton, quel que soit l’abandon / Pourvu qu’il soit le bon / Sur d’experts toboggans vous m’avez vu glisser / Mais y glisser avec délices / Certes !
Ooh j’aime tout, je veux goûter à vous / Ooh j’aime tout, j’veux me donner à vous

Avant que j’m’en aille, avant mes funérailles / De la vie faire ripaille, avant que j’m’en aille

Les flèches que Cupidon m’a décrochées / N’étaient que des haches dans le dos / Et si j’ai rampé tout en bas / J’ai surfé aussi tout là-haut / Sur des cimes ondulantes… hop, j’enchaîne… / Du lever du soleil brûler jusqu’au matin crème / Se frotter à tout c’qui bouge, de palaces en bouges / Non, je n’épargnerai ni moi, ni personne / La fièvre n’est pas un don, mais un dû / Les provocs de cette foutue ville rendent certains hyper hostiles / Mais moi, j’avoue qu’ça m’tente…

Mais je n’ai pas le rouge au front / Et je ne suis pas sur le flanc / Et je ne suis pas si mauvais / Non, je ne suis pas si maudit / Mes vingt ans, sainte verge… enfin bon, j’abrège…. / Du lever du soleil briller jusqu’au matin grège

Avant que j’m’en aille, jouer à qui perd gagne / Et de la vie faire ripaille, avant que j’m’en aille

Mais ma ligne de fuite s’est brisée pour me mettre à la colle des tes vingt deux étés / J’abandonne aujourd’hui mes attractions désastre et tu viens avec moi, faire l’avion

Saudade (Etienne Daho)
En ce mai de fous messages, j’ai un rendez-vous dans l’air / Inattendu et clair, déjà je pars à ta découverte / Ville bonne et offerte //C’est l’attrait du danger qui me mène à ce lieu / C’est d’instinct qu’tu me cherches et approches / Je sens que c’est toi

C’est à l’aube que se ferment tes prunelles marine / Sous quel méridien se caresser, dans mes bras te cacher / Dans ces ruelles fantômes ou sur cette terrasse où s’écrase un soleil / Tu m’enseignes le langage des yeux, je reste sans voix

Les nuits au loin tu cherches l’ombre / Comment ris-tu avec les autres / Parfois aussi je m’abandonne / Mais au matin les dauphins se meurent de saudade

Où mène ce tourbillon, cette valse d’avions / Aller au bout de toi et de moi / Vaincre la peur du vide, les ruptures d’équilibre / Si tes larmes se mèlent aux pluies de Novembre / Et que je dois en périr, je sombrerai avec joie

Comme un igloo (Etienne Daho)
Comme un igloo farouche et empesé ultracivilisé j’me tiens bien en surface / Mais qui me foudre et qui me branle bas se lâcher sans effroi pour le grand don de soi / Je déconne vos idées sur le bien m’assomment / Je n’crains plus le regard de personne / A cette fièvre je m’abonne pour découvrir ou l’amour se love

Un doux poison dans la fibre nerveuse qui me met en deça en dessous mais au-dessus / Etrange influx, vertige ascensionnel qui pénètre mes sens et s’y diffuse jusqu’au ciel / Je m’’la donne pour cela j’ne crains plus personne et je n’attendrai plus qu’on me
sonne / C’est en ton sourire qu’je soupçonne / Qu’c’est en toi que l’amour se love

Comme un igloo électrocuté qui fond sous ta chaleur combustion assurée / Je mets au clou tous mes préjugés abondance d’émois n’a jamais rien gâté / J’m’ la surdonne et je n’attends plus qu’on me sonne / J’n’crains plus le regard de personne / C’est tout ton être qui m’étonne / C’est en toi que l’amour se love

Je sais je sais ou l’amour se love en toi l’amour se love 

Les voyages immobiles (Etienne Daho/Helen Turner)
C’est un moment fort où se réveille l’eau qui dort / Un moment clair où je me confonds à ta chair

C’est le feu et la soie / C’est le vent qui court sous la peau / Et c’est t’apprendre avec les doigts qui m’rend tout chose

C’est comme un mal en moi qui m’effraie, qui me tord / Serre m’encore et fais-moi perdre pied / Dans ces eaux troubles fais-moi plonger

Me garder en toi, le souffle court, figer la pose / Les yeux noyés comme deux mutants sous hypnose

C’est comme un mal en toi qui te pèse et te mord / Baise m’encore et fais-moi tournoyer / Dans ces eaux sombres fais-moi plonger

C’est se taire et fuir, s’offrir à temps / Partir avant de découvrir / D’autres poisons dans d’autres villes / Et en finir de ces voyages immobiles

Un homme à la mer (Etienne Daho)
C’était bien là, le fameux paradis / Y mettre un pied marin, mais se sentir saisi / Par ton regard chaud, ton regard chaud… / Alors que l’on se voudrait fort et fier / Fondre comme les glaçons au fond de nos verres / Boire la nuit entière pour ne plus se taire / Pour devenir un autre…

Entre désir en rade et désert blanc / Je pense à toi la moitié du temps / A ton regard clair, ton regard clair… / Aveugle et plein de toi vers la lumière / Quand le soleil incendie la mer / J’ai aimé ton mystère et je peux mieux faire

J’me sens comme un homme à la mer / Qui a déjà aimé me comprenne / J’me sens comme un homme à la mer / Que pourrais-je y faire ? / J’me sens comme un homme à la mer / Qui n’a jamais aimé me jette la première pierre / J’me sens comme un homme à la mer / Que pourrais-tu faire ?

Toi, mon ange, un cadeau des dieux, que je caresse avec les yeux / Tu fais ma joie, mon gemme précieux, je te caresse avec les yeux / Je n’te caresse qu’avec les yeux

J’n’ai aimé que ton mystère, j’aurais dû mieux faire

J’me sens comme un homme à la mer / Mon cœur de pierre n’a vu que la moitié de la mer / J’me sens comme un homme à la mer / Que pourrais-je y faire ? / J’me sens comme un homme à la mer /Mon cœur de pierre n’a vu qu’la moitié de la mer / Comme un homme à la mer / Qui s’est déjà noyé me comprenne

Interlude à la désirade (Etienne Daho)
Le temps me donne le temps / Le temps me donne le temps et s’en va / Un courant d’air sur les toits / Et un peu d’air pour moi et pour moi, qui suis je ?

La pluie me donne l’envie / La pluie me donne l’envie de toi / Que je ne partage pas / Que je garde pour moi et pour moi ici

Sans vie je dors sans soucis / Je m’abandonne aux plaisirs du temps / Le temps me donne le temps  / De te garder pour moi toute la nuit, et puis…

Toi + moi (Etienne Daho)
Tu es un papillon qui bouge agitant ses ailes ocre et rouge / J’en reviens pas / Mes tempes brûlent ma vue se trouble / Si je regarde ailleurs tu vois rouge / Mais panique pas

Je laisse les vipères siffler sur ma tête / T’en fais pas / Et leurs jeux tordus me font battre en retraite / T’en fais pas

Que tu mordes mes lèvres en douce ou bien que tu suces mon pouce / J’en reviens pas / C’est fou tu es unique et intense bébé de saturne fête mes sens / J’ai le cœur qui bat

Comme deux torches sous la pluie nouvelle toi et moi / Préparons à deux notre vie nouvelle toi et moi

There’s a place for us…

Comme deux torches dans la nuit nouvelle brûlent en secret / Le désir gronde dans la nuit nouvelle dis ton secret / Tout ce que tu veux tout ce que tu ne veux pas

Comme deux torches dans la nuit nouvelle toi et moi / Préparons à deux notre vie nouvelle et dis moi / Tout ce que tu veux tout ce que tu ne veux pas

There’s a place for us…

Rue des petits hôtels (Etienne Daho)
Tu fais ô ô et tout là-haut / La lune éclaire nos corps libres et soudés comme deux chaînes

Tu fais ô ô, t’abîmes pas trop / N’en dis jamais trop et donne de toi juste ce qu’il faut

Les villes se ressemblent, je m’ennuie à me pendre reste pour m’surprendre

Peu importe les pièges que tendent / Là dans ton dos des ordures, drôles d’oiseaux bien comme il faut

Parcours par cœur, Paris ailleurs / Les souvenirs se traînent, l’enfance se promène rue des petits hôtels

Cet endroit te ressemble et tu devrais t’y rendre reste pour m’surprendre / Viens m’surprendre…

Ton corps s’épuise de se tendre, vas-tu guérir ou te rendre ? / Reste pour t’surprendre

Tu fais ô ô, mais j’en dis trop / J’illusionne trop, trop loin et trop haut, plus qu’il ne faut

La berlue (Françoise Hardy)
Pour voir l’intérieur de ma tête / Ses eaux plates, ses tempêtes / Et ses idées reçues

Pour voir l’intérieur de mon cœur / Ses films et ses erreurs / Et son peu d’étendue

Pour voir l’intérieur de mon âme / Ses minuscules drames / Ses états mal vécus

Pour voir l’intérieur de ma tête / Il te faut des lunettes / Car tu as la berlue

Pour voir l’intérieur de ta tête / Les dangers qui m’y guettent / Et nos malentendus

Pour voir l’intérieur de ton cœur / Ses blocages et ses peurs / Ses battements ambigu

Pour voir l’intérieur de ton âme / Et rompre enfin le charme / Tous mystères confondu

Pour voir l’intérieur de ta tête / Il te faut des lunettes / Tu me donnes la berlue

Double zéro et l'infini (Etienne Daho/Rico Conning)
Sale blessure et mauvais temps pour les cœurs purs / Sale torture, ses obsessions ont la peau dure / Sept fois je suis frappé sec et bas / Sous le choc je pluie et je ploie / A mon insu, substituts de poids / Font dada hue et dada ho avec toi

Toi, zéro, dans Paris bascule à l’infini

Lame acérée qui me perce de haut en biais / Coup de massue, je me signe et perds le contrôle / Connais-tu la rage qui me cloue / De t’imaginer à genoux / Dans les catacombes et les égouts / Avec une bombe tu joues / Car l’appétit succède au dégoût / L’attirance succède à l’ennui

Toi, Zéro, dans Paris bascule à l’infini

J’suis bas. J’suis bas…

Paris ailleurs (Etienne Daho/Etienne Daho - Edith Fambuena)
Paris, où ça ? / Paris, ici. / Paris, où ça ? / Ailleurs… te perdre, me perdre…

Quoi… tu m’railles ? / Alors, bye…

Enchanté, welcome, vous prenez ? Pas-sion-nant ! / Du nord au sud, s’enticher, s’mélanger, s’apprivoiser / S’enchevétrer, s’métisser, s’additionner, se mouvementer / S’colorer, s’enlacer, s’entrelacer, spiraler, s’addicter / S’adorer, s’allonger. Climaxer.

Paris, tu perds / Paris, tu perds… / Je pars / Fin

PARIS AILLEURS, LE FILM ET LES CLIPS (VHS)

le film de Doug Nichol –  reportage et interviews lors de l’enregistrement de l’album Paris ailleurs à New York avec les clips : Des attractions désastre – Interlude à la désirade – Double zéro et l’infini

les clips : Saudade – Les voyages immobiles – Comme un igloo – Un homme à la mer – Rue des petits hôtels

DU CD LIVE DAHOLYMPIA

Des attractions désastre – Paris le Flore – 4000 années d’horreur – Il ne dira pas – Comme un igloo – Quelqu’un qui m’ressemble – Le grand sommeil – Epaule tattoo – Les voyages immobiles – Un homme à la mer – Week-end à Rome – Saudade – Mon manège à moi – Des heures hindoues – Paris ailleurs – Saint-Lunaire dimanche matin

DE LA VHS LIVE DAHOLYMPIA

Des attractions désastre – Paris le Flore – 4000 années d’horreur – Il ne dira pas – Demain mieux que moi – Comme un igloo – Quelqu’un qui m’ressemble – Le grand sommeil – Epaule tattoo – Les voyages immobiles – Un homme à la mer – Rue des petits hôtels – Week-end à Rome – Saudade – Mon manège à moi – Des heures hindoues – Tombé pour la France – Paris ailleurs – Saint-Lunaire dimanche matin

DELUXE REMASTERED COLLECTION

disque 1
album original
+
Des attractions désastre (Terry Farley – 7″ mix)
Des attractions désastre (PM Dawn – 7″ version)
Comme un igloo (E.D.I.S.C.O by Dimitri from Paris – 7″ version)
Comme un igloo (Electro vibe mix by Boombass – 7″ version)
Mon manège à moi
Mon manège à moi (La tête à l’envers by Bibi – 7″ version)
Mon manège à moi (Sur une autre planète by Dimitri from Paris – 7″ version)
The girl from Ipanema (duo avec Lio)
Tous les goûts sont dans ma nature (duo avec Jacques Dutronc)

disque 2
Des attractions désastre (live 2004)
Saudade (live 2004)
Comme un igloo (live à la salle Pleyel 2008)
Les voyages immobiles (live 92)
Un homme à la mer (live 92)
Rue des petits hôtels (live 92)
Mon manège à moi (live Londres 98)
Paris ailleurs (live 92)
Des attractions désastre (démo)
Rue des petits hôtels (démo)
Comme un igloo (démo)
Interlude à la désirade (démo)
Toi + moi (démo)
Double zéro et l’infini (démo)
Tous les goûts sont dans ma nature (démo solo Etienne)
Le premier de nous deux (démo)
Un homme à la mer (1ère version single inédite)
Quelqu’un qui m’ressemble (version 92)
Chanson pour un caméléon (démo)
Dommage que tu sois mort

liste non exhaustive des formats existants


Saudade
Interlude à la désirade
sorti le 4 novembre 91

Des attractions désastre
Un homme à la mer (version acoustique)
sorti le 21 avril 92

Les voyages immobiles
Paris ailleurs
sorti le 22 septembre 92

Comme un igloo
Quelqu’un qui m’ressemble (version 92)

Un homme à la mer
Double zéro et l’infini
sorti le 18 mai 93
PROMOS & MAXIS SINGLES

single promo
Saudade
Interlude à la désirade

maxi single promo
Saudade
Interlude à la désirade
Un homme à la mer (version acoustique)

maxi single promo & maxi single

  • Des attractions désastre 2 remix
  • Des attractions désastre version album et 5 remix

single promo 1 titre

maxi remix 1 titre

maxi single

  • Electro Vibe Mixx
  • E.D.I.S.C.O.
  • Original Version
  • Barbados Bros Bonus Beat

single promo 1 titre

maxi single promo
Un homme à la mer
Double zéro à l’infini

VHS promo
Un homme à la mer
Double zéro à l’infini

Seuls les titres ayant plusieurs versions, y compris les démos et celles pour lesquelles il n’existe aucun enregistrement (mentionnées « AE »), sont repris ci-dessous avec, le cas échéant, un lien pour les écouter.

Des attractions désastre

version démo
Deluxe remastered collection

album (remastered version 2016)

remix Terry Farley
Deluxe remastered collection

remix PM Dawn
Deluxe remastered collection

Le Tour de Paris et d’Ailleurs
DahOlympia- 1993
Kaléidoscope Tour (AE)
Le Tour de l’été sans fin
Live 2001

concerts acoustiques au Rex à Paris 17/12/01 et Canal Jimmy 17/01/02

Réévolution Tour
Sortir ce soir – 2005

Obsession Tour
Daho Pleyel Paris – 2009

Diskönoir Tour
London Daho – 2014

BlitzTour
Nos chants illuminent  la nuit – 2018

Etienne Daho Show 2023-2024
Saudade

album (remastered version 2016)

Le Tour de Paris et d’Ailleurs
DahOlympia- 1993
Kaléidoscope Tour (AE)
Le Tour de l’été sans fin
Live 2001

concerts acoustiques au Rex à Paris 17/12/01 et Canal Jimmy 17/01/02

Réévolution Tour
Sortir ce soir – 2005

Obsession Tour
Daho Pleyel Paris – 2009

Diskönoir Tour
London Daho – 2014

Etienne Daho Show 2023-2024
Comme un igloo

version démo
Deluxe remastered collection

album (remastered version 2016)

Electro Vibe Mix by Boombass
Deluxe remastered collection

E.D.I.S.C.O by Dimitri from Paris
Deluxe remastered collection

Barbados Bros Bonus Beat

Le Tour de Paris et d’Ailleurs
DahOlympia- 1993
Kaléidoscope Tour (AE)
Le Tour de l’été sans fin
Live 2001

Réévolution Tour
Sortir ce soir – 2005

Obsession Tour
Daho Pleyel Paris – 2009
Les voyages immobiles

album (remastered version 2016)

Le Tour de Paris et d’Ailleurs
DahOlympia- 1993
Un homme à la mer

album (remastered version 2016)

version acoustique

1ère version single inédite

Le Tour de Paris et d’Ailleurs
DahOlympia- 1993
Interlude à la désirade

version démo
Deluxe remastered collection

album (remastered version 2016)
Toi + moi

version démo
Deluxe remastered collection

album (remastered version 2016)
Rue des petits hôtels

version démo
Deluxe remastered collection

album (remastered version 2016)

Le Tour de Paris et d’Ailleurs
DahOlympia (VHS) – 1993
Deluxe remastered collection
Double zéro et l’infini

version démo
Deluxe remastered collection

album
Paris ailleurs

album (remastered version 2016)

Le Tour de Paris et d’Ailleurs
DahOlympia- 1993

Sous certaines références d’articles, vous aurez la possibilité de parcourir l’intégralité de l’article, pour d’autres, vous trouverez une courte introduction ou amorce, également appelée chapeau ou « chapô » dans le jargon journalistique, offrant un résumé du contenu de l’article.  Si tel est le cas, il vous suffit de cliquer sur le titre approprié pour accéder à la version complète de l’article. D’autres encore ne reprennent que le passage concernant Etienne, là aussi, pour accéder au contenu intégral, il vous suffira de cliquer sur le titre correspondant.

RELATIVE A L’ALBUM

  • critique album – Le Soir – 91
  • Etienne Daho – Paris ailleurs – Les Inrocks – 11/91
  • critique album – Télérama – 11/91

    Envolé le jeune homme léger, en allé le dandy champagne. Le nouvel album de Daho tient plus des Heures hindoues que de Week-end à Rome : il sonne moins délibérément séduisant, plus songeusement pop, Paris ailleurs est un peu, pour reprendre le titre de la nouvelle Tabucchi et du film de Corneau, le Nocturne indien du Rennais. On ne sait trop qui, et ce qu’il cherche de ville en ville, de nuits au loin en voyages immobiles. Et ses mots, aveux obscurs, gardent jalousement son secret. Mais on sent le feu couver sous la soie…

    Outre une contribution de son égérie Hardy, Daho nous offre quelques moments captivants : Voyages immobiles, Interlude à la désirade, Zéro et l’infini (sic). Peu à peu, grâce à eux, on s’apprivoise à cet album énigmatique et ambitieux.

    Anne-Marie Paquotte – Télérama

  • Un jeune homme vert Daho (interview) – Rock this Town – 21/11/91
    chapeau de l’article

    Rennes, les enfants de Velvet, Arnold Turboust, les hommages à Françoise Hardy, la pop ultime, le dilettantisme… Sans rien renier du passé, Etienne Daho abaisse le rideau sur ses années 80. Son nouvel album, sensé contenir les germes (et sûrement bien plus) de l’homme neuf, sort le 6 décembre. Une rencontre anticipée.

  • Etienne Daho, le Breton solide comme un rock – Figaro Magazine – 14/12/91
  • Des perles françaises – 24 Heures – 21/12/91
    passage sur Etienne

    Après avoir longuement hésité sur le triangle « je-tu-nous » des relations amoureuses, Etienne Daho passe à l’acte dans Paris ailleurs et chante les plaisirs de se perdre dans l’autre.  Jeux de mains, d’amour et de mots : c’est joliment fait, et dit.

    J.E. – 24 Heures

  • Etienne Daho – Paris Ailleurs – Rock é& Folk – 01/92

On me disait : « Daho fait de la musique de fille » et je ne sais pas, juste maintenant, Daho en fait peut-être. Parce qu’il y a quelque chose de troublant dans la distance que toutes les choses semblent avoir avec Daho, dès lors qu’il ne s’agit pas de ses humeurs élégiaques ou de ses histoires de cœur. On me dira que notre homme n’est pas, par essence, un monstre de subversion, n’empêche que poésie et dandysme sonnent légèrement déplacés, ces jours-ci. Comme le luxe, mal venu.

lire la suite

Maintenant, dans la circonférence de ce cercle pop dont l’innocuité n’a d’égale que son efficacité certaine au Top 50, Etienne Daho délivre l’album du perfectionniste qu’il peut à juste titre se vanter d’être, package étroitement ficelé, produit, écrit, standard. Technique studio immaculée entre New York et Paris, formation pointue entre l’adorable Edith Fambuena et les session-musicians de la Grosse Pomme, habituelle salve pop entre refrains accrocheurs et textes malins, voix nettement affirmée. On trouve peut-être qu’il finit, à force de persévérance, par faire de l’autocitation, du Dahoïsme, des mélodies qu’il sait parfaitement agrafer au milieu du front de ses auditeurs, des paroles sur mesure, sans pas de côté, sans transgression. Etienne fait, imperturbablement, du Daho et il était peut-être important pour notre homme de délimiter une bonne fois pour toute son territoire pop. Libre à nous de trouver que sans surprises, « Paris Ailleurs » pourrait fort bien l’être, ailleurs.

Philippe Ox – Rock & Folk

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  • Capitales (interview) – Best – 01/92
    chapeau de l’article

    A New York, Etienne Daho était parti chercher quelque chose d’autre. Il l’a trouvé. Pas exactement comme il s’attendait à le trouver, d’ailleurs. Ce qu’il a trouvé, il nous le donne : c’est « Paris ailleurs », un disque fait avec le coeur et la tête, là-bas, dans la ville debout.

© Youri Lenquette
  • Daho sans filtre – TV8 – 02/01/92

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photo de l’article
  • Daho ailleursLe Matin (Lausanne) – 13/08/92
  • Show devant   – Rock this town – 10/92
  • C’est sa tournée ! (interview) – Rock & Folk – 10/92
  • Daho fait débat – Télérama – 07/10/92
  • La question (interview) – Best- 11/92
  • Disques – Le Nouveau Quotidien – 13/12/92

    Paris ailleurs (BMG)
    Le degré Daho de la pop française.. Cuivres façon Motown et dandysme léger : on craque et on monte le volume.

  • Agenda culturel romand – Chansons – Journal de Genève – 18/12/92

    C’est un peu près le seul survivant de la génération branchée des années quatre-vingt.  Nourri au biberon du Velvet Underground sous les girons de Marianne Faithfull et Françoise Hardy, Etienne Daho, beaucoup aidé par son joli minois, a le sens du rythme et de la sensualité romantique : à notre époque, il devient ainsi une espèce de chantre du « fun », dans un monde où les émotions tentent de gouverner.
    Balavoine disparu, il reprend le flambeau d’une chanson intelligente, à l’écoute de son public et portée par une voix chaude, ronde, où l’on a envie de lover ses nostalgies pour oublier la cruauté du temps présent.  Et rêver un peu, quoi !

    (op) – Journal de Genève

  • Etienne Daho – Paris ailleurs – Le Monde – 24/12/92

    Etienne Daho sait écouter : la qualité première de Paris ailleurs est dans son ouverture au monde actuel, au rap, aux musiques de danse. Mais Etienne Daho a son quant-à-soi : c’est un vrai Brummel musical, qui surfe sur le courant avec une telle agilité que l’on croirait presque que c’est lui qui les met en mouvement. A cette élégance habituelle s’est ajoutée une espèce de gaieté inquiète assez bien résumée par l’expression anglaise « siffler sur le Titanic ». Daho chronique le désespoir de cette fin de siècle en y cherchant des sources de plaisir.

  • Radiographie d’une œuvre publique – Live Musique, Cinéma, et cætera – supplément Tribune de Genève – 10/95
    commentaire d’Etienne sur l’album (propos recueillis par Jean Ellgass)

    Avec Pop Satori, je suis devenu très fashion, avec Pour nos vies martiennes très populaire. Le public rock a fêté cet album puis il s’est divisé : « il vend trop de disques, il fait trop de monde. » Et ça a été le début des ennuis : à savoir qu’il fallait que je me justifie de mon existence. (Il rit) Je suis alors parti au Portugal, où j’ai écrit Paris Ailleurs, puis à New York pour l’enregistrer. J’ai adoré faire cet album, que je rapproche de Mythomane : j’ai eu tout d’un coup la plume. Edith Fambuena (guitare) a été très importante pour la couleur, ainsi que pour la composition parce que je ne suis pas très musicien : je compose avec les moyens du bord, en m’accompagnant à la guitare, très mal. Edith a mis en forme mes brouillons. C’est un album à deux têtes. J’ai toujours eu besoin de partenaires : d’abord Jacno et Marquis de Sade ; puis Turboust et Darcel ; l’équipe anglaise avec Orbitt ; Tox, le guitariste pour Vies martiennes ; Edith, et enfin Saint Etienne.

    Etienne

  • Pairs Ailleurs (chronique) – Forces Parallèles – 07/05/2016

RELATIVE AU TOUR DE PARIS ET D’AILLEURS ET DU DAHOLYMPIA

  • Daho au Spectrum en mars – Le Devoir (Montréal) – 10/02/93
  • Le chemin le moins fréquenté – Le Soleil (Québec) – 20/02/93
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  • Sortie d’urgence – Voir – 03/93

  • Etienne Daho : une prise de contact concluante – Le Devoir (Montréal) – 12/03/93
  • Le Spectrum tombe pour Daho – La Presse – 12/03/93
  • Daho : des chansons pour danser – Le Soleil (Québec ) – 16/03/93
  • L’amour à la Daho – La Wallonie – 29/03/93
  • Le charme de Daho – Le Quotidien de la Côte – 28/04/93
  • Le dandy de Rennes (article en allemand concernant le concert au X-Tra à Zürich) – Presse suisse – 05/93
  • Daho reste une coqueluche agréable à attraper  – Tribune de Genève – 05/05/93
  • Dérives intérieures – Le Matin – 07/05/93
  • « Pour consoler de la vie… » (interview) – Le Quotidien de la Côte – 26/05/93
  • L’heure de vérité – Le Quotidien de la Côte – 16/07/93
  • critique du live Daholympia

    Enregistré à l’Olympia, cet album de seize titres restitue l’étendue du talent d’Etienne Daho qui excelle autant comme compositeur que comme parolier. Quand, habile à s’adapter aux courants les plus divers, il y donne comme preuve la richesse esthétique de sa palette musicale et l’intime délicatesse de sa poésie, nourrie de romantisme et de mélancolie. Daho a su créer un univers à son image, à la fois sobre et raffiné, intime et pudique, dont le charme agit instantanément. Il suffit de se laisser porter par l’écoute des principaux tubes qui ont jalonné le début de sa carrière pour en être convaincu, qu’ils se nomment « Le Grand sommeil », « Epaule tattoo, « Week-end à Rome » ou encore « Des Heures hindoues ». Déjà, Etienne Daho s’imposait comme un artiste résolument unique dans le paysage français. Il n’a depuis jamais cessé de l’être, pour notre plus grand plaisir.

    Sylvie Devilette

  • Les Francolfolies de la Rochelle – La Presse – 20/07/93
  • C’est son manège à lui – Le Matin -21/07/93
  • Daho déhanche – Le Matin – 22/07/93
  • Sur les ailes de Jimmy Cliff – Journal de Genève – 22/07/93
  • De tiède à très chaudLe Quotidien de la Côte – 22/07/93

  • Parfums nostalgiques – 24 Heures – 22/07/93
  • DahOlympia – Coup de coeur – La Gruyère – 23/12/93
  • DahOlympia (critique album) – Le Matin (Lausanne) – 30/12/93
  • Après une escale parisienne pour son troisième Olympia, … – Platine – 11/94
  • Radiographie d’une œuvre publique – Live Musique, Cinéma, et cætera – supplément Tribune de Genève – 10/95
    commentaire d’Etienne sur DahOlympia (propos recueillis par Jean Ellgass)

    Enregistré à la fin de la tournée internationale, donc on est assez rodés. Mais, en même temps, on est un peu paumés : il y avait des caméras pour le tournage du film, des lumières très fortes : on voit trop les gens et ils nous voient trop ; on les sent gênés, ils ne manifestent pas leur affection comme ils le voudraient, et moi non plus. Mais j’aime beaucoup ce live parce qu’il est très net, très précis : on sent que tout le monde se donne à fond, alors que Live ED est comme un polaroïd un peu flou.

    Etienne

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BANDE ANNONCE

réédition 30e anniversaire
édition limitée vinyle vert
03/12/21
CLIPS OFFICIELS

Des attractions désastre

Comme un igloo

Un homme à la mer

Les voyages immobiles

Saudade

Rue des petits hôtels

Interlude à la désirade

Double zéro à l’infini
EMISSIONS TELE

Escale
MCM

Double jeu
extrait : Saudade
A2 – 21/12/91

Taratata
extrait : Mon manège à moi (duo avec Anne Brochet)
France 2 – 07/02/93

Taratata
extrait : Comme un igloo
France 2 – 07/02/93

Taratata
extrait : Bienvenue (duo avec Jad Wio)
France 2 – 07/02/93

Taratata
extrait : Des attractions désastre
France 2 – 07/02/93

Festival de Stavelot
reportage
RTBF – 24/07/93

Fréquenstar
extrait : découvrir la vie et le monde
M6 – 08/95
PASSAGES TELE

reportage
TF1 News – 18/12/91

Tour de chance
Saudade
RTBF – 26/01/92

Tous les goûts sont dans ma nature
(duo avec Jacques Dutronc)
AUTRES

Paris ailleurs – le film et les clips
(extrait)

Francofolies de la Rochelle
Des attractions désastre – 1993

du 3 octobre au 17 juillet 92 : tournée Le Tour de Paris et d’Ailleurs
du 11 mars au 24 juillet 93 : tournée The Paris Ailleurs Tour

LES DATES

LE TOUR DE PARIS ET D’AILLEURS

octobre
3 : LAVAL // 5 : JOUE LES TOURS // 6 : NIORT // du 10 au 13 : Zénith PARIS // 20 : SAINT BRIEUC  // 21 : RENNES // 22 : NANTES

novembre
3 : CHAMBERY // 5 : BESANCON // 6 : DIJON // 7 : GRENOBLE // 12 : ROUEN // 13 : ANGERS // 14 : ORLEANS // 16 : LIMOGES // 17 : BORDEAUX // 18 : TOULOUSE // 19 : MONTPELLIER // 20 : MARSEILLE // 21 : NICE // 23 : TOULON // 24 : AVIGNON // 25 : BOURG  EN BRESSE // 26 : LYON // 27 : MAISON ALFORT // 28 : REIMS

décembre
3 : MULHOUSE // 4 : METZ ; 6 // STRASBOURG // 8 : BREST // 9 : CAEN // 11 : LILLE // 12 : BRUXELLES // 13 & 14 Olympia PARIS // 16 : CLERMONT-FERRAND // 17 : MONTLUCON // 18 : LAUSANNE

juillet
17 : Francofolies LA ROCHELLE


THE PARIS AILLEURS TOUR

mars
11 : MONTREAL // 15 : QUEBEC // 23 & 24 TOKYO

avril
6 : Forum de LIEGE // 7 : Vooruit GAND // 9 : AMSTERDAM // 10 : GRONINGEN  // 17 : HELSINKI // 19 : STOCKHOLM  // 22 : COPENHAGUE  // 24 : HAMBOURG  // 26 : MUNICH  // 27 : KOLN // 29 : BERLIN

mai
5 : Palladium GENEVE   // 7 : X-Tra ZURICH  // 8 : BERNE  // 12 : COIMBRA  // 13 : LISBONNE  // 14 : MADRID  // 15 : BARCELONE

juin
23 : FLORENCE

juillet
20 : Paléo Festival NYON  // 24 : Festival de STAVELOT

LES SETLISTS

LE TOUR DE PARIS ET D’AILLEURS

Des attractions désastre – Paris le Flore – 4000 années d’horreur – Il ne dira pas – Demain mieux que moi – Comme un igloo – Toi + moi – Quelqu’un qui m’ressemble – Le grand sommeil – Epaule tattoo – Les voyages immobiles – Un homme à la mer – Bleu comme toi – Rue des petits hôtels – Week end à Rome – Saudade – Paris ailleurs – Mon manège à moi – Des heures hindoues – Satori Pop Century – Tombé pour la France – Saint Lunaire, dimanche matin

THE PARIS AILLEURS TOUR

Des attractions désastre – Paris le Flore – 4000 années d’horreur – Il ne dira pas – Comme un igloo – Quelqu’un qui m’ressemble – Le grand sommeil – Epaule tattoo – Un homme à la mer – Bleu comme toi – Week end à Rome – Saudade – Mon manège à moi – Tombé pour la France – Paris ailleurs

participation d’Arnold Turboust (Saint Lunaire, dimanche matin au Zénith et l’Olympia à Paris), Sylvie Vartan (Quand tu es là à Reims)

LES MUSICIENS

Saint Marcello B. : basse
Edith Fambuena : guitare
Xavier « Tox » Geronimi : guitare
Jean-Louis Piérot : claviers
Stephen Irvine : batterie

choristes : Theos Allen, Carolle Blandin, Mickael Robinson

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